Maintenir la certification volontaire, un enjeu d’intérêt général !

Une opération de construction est un acte généralement unique en considération de plusieurs éléments de contextualisation : sa localisation et son environnement, la nature de l’ouvrage et des usages qui en sont attendus, les différents acteurs qui sont impliqués dans sa conception puis sa réalisation, et l’ensemble des solutions techniques, produits ou services qui sont mobilisables.

Pour mener à bien leurs missions, l’ensemble des acteurs a besoin de disposer de références techniques communes partagées et de données ou informations clés fiabilisées.

La certification volontaire, délivrée par un organisme tiers accrédité, impartial et compétent, sur la base d’un référentiel établi collectivement, fournit des informations vérifiées sur un produit, un procédé de construction, un service ou un ouvrage de construction permettant d’éclairer et d’objectiver les choix de chacun des acteurs.

La proposition de révision du règlement UE n°305/2011 (Règlement Produits de Construction), introduite par la Commission européenne à la fin mars 2022, est source d’inquiétudes partagées quant au devenir et au champ d’actions laissé à la certification volontaire des produits de construction dans le cadre du marquage CE.

Ainsi, les organisations professionnelles AIMCC, AQC, CAPEB, FDMC, FFB, FFMI, FNTP, UNAM, UNSFA, UNTEC ont signé une Charte qualité construction aux côtés de l’AFOCERT affirmant leur attachement à pouvoir bénéficier durablement des apports de la certification volontaire.

Pour télécharger la Charte AFOCERT : https://www.afocert.fr/fichier-utilisateur/fichiers/afocert_charte_qualite.pdf
Pour soutenir la démarche : https://share.hsforms.com/1LJKBtiQ9TpCo5t3R_8T28g2dcd0